S’exercer, étape clé de toute formation

Table des matières

Jeux de mise en situation

 

La clé de la réussite : s’exercer, s’exercer encore…

 

Tout professionnel vous le démontrera aisément, qu’il soit pêcheur, pianiste, tennisman, charcutier ou commercial, pour que le métier rentre il faut s’exercer.

 

Les meilleurs professionnels ont la chance d’avoir un coach qui leur est dédié et qui les motive à faire leurs exercices quotidiens. Leur coach les font jouer à se surpasser chaque jour, à peaufiner leur technique, à travailler leur point faible.

 

Difficile de payer un coach personnel à chacun de vos employés ! Le coach devrait passer des jours entiers à les aider à maîtriser à avoir les bons réflexes, à mettre en pratique et à peaufiner la connaissance acquise durant la formation (en e-learning).

 

Mais grâce au digital et aux technologies innovantes et interactives, il est possible de simuler des situations, de scénariser un apprentissage par la pratique. L’idée est de simuler des situations concrètes pour que chacun apprenne à avoir les bons réflexes, presque aussi bien que s’il avait un coach dédié.

 

C’est apparenté au serious game. Le concept est de simuler une situation de travail précise, afin que les apprenants puissent s’exercer de la bonne manière et découvrent eux-mêmes les conséquences de leurs erreurs, afin de s’auto-corriger.

La création d’exercices ou de jeux de simulation en formation peut être abordée de deux manières :

 

    • Comme une formation à part entière, se suffisant à elle-même. Dans ce cas les contenus pédagogiques sont intégrés au début des exercices de simulation.
    • Comme un complément “pratique”, s’effectuant après la “théorie” étudiée dans un module elearning,

 

Dans les deux cas, permettre aux apprenants de s’exercer avec un simulateur est très bénéfique, avant qu’ils soient confrontés à la réalité de véritables situations professionnelles…

 

4 avantages décisifs

 

1 – Répétition illimitée sous forme de jeu.

 

Un apprentissage complet nécessite de répéter la séquence d’actions du process (compétences opérationnelles) ou du bon comportement à adopter (compétences comportementales), autant de fois que nécessaire.

 

Les jeux de simulations sont particulièrement adaptés aux situations où l’erreur humaine peut avoir des conséquences graves. Par exemple un acte médical, une manipulation incluant de la sécurité ou une situation où les interactions humaines et leur interprétation ont une importance majeure, comme le commercial, le recrutement, le management…

 

2 – Accroissement graduel de la difficulté

 

Il est possible et important de personnaliser des réponses, en fonction des actions des apprenants, avec l’ajout de variables pour graduellement monter la difficulté des situations afin de préparer la personne au pire, ce qui renforce sa confiance en elle dans les situations “normales”

 

3 – Simulation des situations de crise

 

Gestion de l’aléa dans les scénarios, permettant de créer des effets de surprise ou un renversement de situation, comme dans une vraie situation de crise.

 

4 – Jeux de rôle simulant la réalité

 

L’objectif est de reconstituer un environnement réaliste permettant une immersion réussie des apprenants dans une situation de travail identifiée (immersive learning).

L’immersion, généralement réalisée à partir de dessins, peut être schématique ou hyper réaliste en 3D. Nous préférons investir dans l’intelligence de conception des scénarios plutôt que dans la sophistication d’environnement “réalistes”. Le générateur permet tout de même de créer des perspectives 3D très simplement.

 

Les solutions de simulation

 

  • Le premier simulateur d’avion a plus de 30 ans. Depuis la technologie ne cesse de sophistiquer les simulations afin de les rendre hyper réalistes, d’abord pour l’armée puis le jeu vidéo.

 

  • Coté digital, nous avons choisi de nous former à la solution OnMap.
  • C’est un logiciel générateur de simulation, permettant de créer des exercices sur-mesure à un coût abordable et avec une immersion suffisante pour que les apprenants se prennent au jeu. C’est une évolution des serious games, tels qu’on les a connu ces dernières années. Ils permettent donc de simuler un contexte professionnel dans un univers interactif. L’apprenant est donc confronté à des choix qu’il doit prendre. Il apprend ainsi la façon correcte d’agir dans de nombreuses situations. Ces simulations se font donc de façon digitale, devant un PC, tablette ou smartphone.
  • Coté présentiel, une autre approche nous semble particulièrement efficace. Elle provient de l’essor des escape games. Le principe est de rajouter du contenu pédagogique aux énigmes du jeu. Dans ce cas, les apprenants sont en équipe, immergés dans une salle ou ils doivent parvenir à résoudre un ensemble d’étapes faisant partie d’une quête globale. Actuellement très utilisés et appréciés dans une optique de team building, les escape games auxquels on rajoute une véritable scénarisation pédagogique, (pas juste une couche pour justifier le genre) peuvent être aussi très efficaces pour ancrer profondément les savoirs dans l’action, pour encourager la coconstruction des savoirs et favoriser la collaboration entre pairs.
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